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Bienvenue

Bienvenue sur le site de la Congrégation de l’Oratoire de Dijon.

Erigée canoniquement par le Saint-Siège le 15 juillet 2011, la Congrégation de l’Oratoire de Dijon vit et déploie sa vocation oratorienne sur le site de la paroisse Paul-Sainte Jeanne d’Arc de Dijon. 

Suivant le charisme de saint Philippe Néri (1515-1595), fondateur de leur congrégation, les Oratoriens reçoivent la vie communautaire et la charité fraternelle comme école de sanctification, en vue d’un apostolat commun qui participe à l’évangélisation de la ville où ils sont implantés.

Leur apostolat s’appuie d’abord sur la transmission quotidienne et fraternelle de la Parole de Dieu, l’approfondissement de la vie sacramentelle et l’attention au parcours spirituel de chacun.

En collaboration avec les autres prêtres, ils reçoivent également une mission au service du diocèse de Dijon ou d’autres institutions de l’Église.

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Sortie oratorienne du 8 mai

IMGP0316Nous étions environ 70, ce 8 mai, à voyager de concert (qui en bus, qui en auto) vers deux hauts-lieux de l’enracinement de l’Evangile en Bourgogne : Saulieu et La Pierre-Qui-Vire.

Saulieu a vu, au 3ème siècle, trois chrétiens mourir pour rendre témoignage au Ressuscité. C’étaient Félix, un gaulois de cette cité, et deux missionnaires qu’il hébergeait : Andoche et Thyrse. Ces derniers, via Lyon, venaient d’Asie mineure ; leur école de vie chrétienne, à travers les saints évêques Polycarpe et Irénée, était celle de l’Apôtre saint Jean. Célébrer l’eucharistie dans la basilique Saint-Andoche, auprès des reliques de ces témoins fondateurs, a été pour nous le socle de la joie partagée ce jour-là !

Le lycée St-Dominique de Saulieu nous a ensuite ouvert ses portes pour que nous puissions partager un pique-nique dans des conditions très agréables, soleil et jeux s’étant aussi mis de la partie.

Puis nous nous sommes rendus à St-Léger-Vauban, à 5 km de l’abbaye de la Pierre-Qui-Vire. Un groupe y a fait halte, dans l’église, pour échanger à partir d’un extrait de la Règle de saint Benoît, tandis que les autres faisaient de même en « pèlerins d’Emmaüs » : deux par deux, sur le chemin forestier qui mène à l’Abbaye. Là, le Ressuscité voulait encore rester avec nous à travers le bon accueil du vénérable P. Denis, qui fut abbé de ce monastère, et la prière commune de l’office de Vêpres. « Nos cœurs n’étaient-ils pas tout brûlants ?… ». Merci, cher saint Philippe !